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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 19:04

Cette jeune fille qu'il regarde est une adolescente de 16 ans. Nicolas Sarkozy est plus discret...

 
Je trouve son comportement un peu limite, ça fait gros obsédé comme il la regarde... et une mineure en plus.Je comprends qu'il puisse trouvé cette jeune fille à son goût, mais il n'a pas à se comporter de la sorte en public. Je ne pense pas qu'il soit fidèle à sa femme contrairement à ce qu'on veut nous faire croire. C'est loin d'être d'être un romantique ! Il n'y a pas que Berlusconi qui est un grand amateur de femmes et d'adolescentes...  Il n'a aucun respect pour sa femme.

Pour un Président en fonction, c'est choquant, ça fait bête de sexe. Même Clinton avait l'air "sage" à côté de lui. 






"L''objet de désir" du Président américain de face...



Rediffusion d'une note du 31 juillet 2009

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 12:37

Près de 9 Français sur 10 (88%) estiment que la franchise de 50 centimes d'euro appliquée sur le remboursement des boîtes de médicaments n'a pas du tout modifié leur comportement d'achat, selon une étude réalisée par l'Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes), rendue public mardi 2 novembre. Parmi le faible pourcentage de personnes ayant modifié leur consommation de médicaments, 64% affirment n'avoir acheté qu'une partie des spécialités prescrites et 33,5% avouent avoir repoussé l'achat des médicaments.

 

 

Les auteurs de l'enquête indiquent que la mise en place de cette franchise en janvier 2008 a essentiellement affecté les personnes à bas revenus. Ainsi, plus de 14% des patients ayant un revenu par unité de consommation inférieur à 1.167 euros ont avoué avoir modifié leur comportement d'achat de médicaments, contre seulement 8,4% des personnes avec un revenu supérieur ou égal à 1.997 euros.

"Au regard du modèle théorique, cet effet important du revenu semble indiquer que les franchises ont eu un effet négatif en termes d'accès aux médicaments : un même cumul de franchise représente un effort financier d'autant plus élevé que les individus disposent d'un faible revenu", expliquent les auteurs de l'enquête.

Selon l'étude, la part de Français ayant affirmé avoir modifié leur consommation de médicaments suite à la mise en place de la franchise est plus importante parmi les patients faisant état d'une santé "assez bonne", "mauvaise" ou "très mauvaise", que chez ceux évoquant un état de santé "bon" ou "très bon" (13% contre 11%).

Pour rappel, des franchises sont appliquées sur les remboursements de l'Assurance maladie depuis le 1er janvier 2008. Elles sont de 50 centimes d'euros sur les boîtes de médicaments et les soins auxiliaires et 2 euros sur les transports sanitaires. L'Irdes précise que l'objectif de ces franchises était d'inciter les patients à réguler leur consommation de médicaments.

Cette étude est basée sur les données déclaratives de l'Enquête santé protection sociale (ESPS) 2008 de l'Irdes. L'ESPS est réalisée tous les deux ans auprès d'environ 8.000 ménages composés de 22.000 personnes. Les données fournies ci-dessus font l'objet d'une étude menée auprès de 4.985 personnes auxquelles ont été prescrits des médicaments depuis le 1er janvier 2008.

  

  

J'aurais pensé que la franchise aurait eu plus d'incidence sur le comportement des Français. Mais quand on est "abonné" à des médecins on ne regarde pas la dépense... sauf si on a un revenu moyen ou faible.

nov. 2010

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 18:27

Le médiateur de la République, Jean-Paul Delevoye, brosse dans son rapport annuel un tableau très sombre de la société française, évoquant un sentiment d'injustice, un ressentiment des citoyens à l'égard de l'administration et une banalisation de la violence.

"Je sens une société en tension et en usure psychique", a déclaré mardi M. Delevoye en présentant son rapport 2009 à la presse. "Avant, on était crevé au boulot, maintenant on est usé dans sa vie, on est tendu tout le temps".

"La qualité des rapports humains se dégrade avec des montées d'agressivité au sein des familles, des entreprises, des espaces publics", a-t-il ajouté, déplorant une "banalisation de la violence" et une judiciarisation excessive des conflits, preuves selon lui d'un manque de dialogue.

Il est à ses yeux "important de retrouver des lieux d'apaisement, de compréhension, d'explication, pour reconstruire un +vivre ensemble+, sinon c'est le chacun pour soi qui l'emportera, et c'est la fin du pacte républicain".

M. Delevoye avait remis dans la matinée son dernier rapport en tant que médiateur à Nicolas Sarkozy. Sa fonction, créée en 1973, doit devenir prochainement le "Défenseur des droits", intégrant également celles du "défenseur des enfants" et de la Commission nationale de déontologie et de sécurité" (CNDS).

Les projets de loi organique et ordinaire nécessaires à cette réforme seront examinés au printemps par le Parlement, a précisé l'Elysée dans un communiqué.

Le futur défenseur des droits, "cet ombudsman à la française", aura "les capacités de peser plus dans l'équilibre entre le fort et le faible, l'administration et l'administré, c'est un point d'équilibre aujourd'hui plus nécessaire que jamais", a estimé M. Delevoye devant la presse.

Dans son rapport, il insiste sur la nécessité pour les politiques de donner une voix à "la France des invisibles", ceux qui n'ont pas les moyens de se faire entendre ou n'osent pas réclamer.

Comme en 2008, il constate les lacunes de l'accueil et le manque d'information du public, et ajoute de nouveaux sujets de "ressentiment", comme les difficultés rencontrées lors du renouvellement de papiers d'identité.

La "prudence exagérée de l'administration dans la délivrance de documents administratifs tend à se généraliser, comme en témoignent les courriers (...) de Français nés à l'étranger ou dont l'un des parents est né à l'étranger", écrit-il.

Selon le médiateur, les citoyens se sentent par ailleurs "ballottés" par "d'incessants changements censés les avantager" (comme l'ouverture à la concurrence d'EDF-GDF, parfois "source de préjudice"), et désorientés par un "vertigineux empilement de lois et de règlements".

"L'inflation législative peut créer des difficultés d'application des textes, voire générer des situations d'iniquité", estime le rapport.

Le médiateur rappelle avoir aussi pour rôle de faire des propositions de réforme. Il l'a fait en 2009 pour les victimes d'essais nucléaires, la redevance audiovisuelle en prison ou les autopsies judiciaires. Il le fera en 2010 pour les retraites ou encore la "maltraitance des patients".

Un "pôle santé et sécurité des soins" a été créé début 2009 dans sa sphère de compétence, et s'est inquiété d'une montée des "phénomènes de maltraitance" à l'égard des patients et d'agressivité envers le personnel hospitalier.

Au total, 76.286 affaires ont été transmises en 2009 aux services du médiateur de la République, soit une augmentation de 16% par rapport à 2008. L'institution a traité 43.481 réclamations.


Un triste constat de notre pays...

 

 

Rediffusion d'une note du 23/02/20010

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 15:37
La belle Emmanuelle Beart a 46 ans.

  

Sa maman était mannequin et elle a eu une liaison avec le chanteur Guy Beart. Mais alors qu'Emmanuelle est encore toute jeune, le chanteur quitte le foyer, laissant à sa compagne le soin d'éduquer leur fille. 

 

Un peu marginale et baba-cool, Geneviève, la maman d'Emmanuelle, décide très vite de ne plus travailler.

"Le travail l'ennuyait, se souvient, Melle Beart. Elle avait l'impression de se prostituer".

 

Livrés à eux-même, les enfants doivent apprendre à se débrouiller. 

"Quand on ne pouvait pas payer la cantine, elle nous disait -tu expliques et tu dis qu'on n'a pas d'argent" révèle Emmanuelle Beart.

Jeunes, sans repères, les frères et les soeurs de cette fratrie auraient fait les 400 coups selon les dires de la talentueuse actrice.

"J'ai des souvenirs de monoprix de St Tropez. J'arrivais avec mes vieilles pompes pourries, je prenais des chaussures neuves et je repartais avec. Maman nous avait dit qu'on pouvait voler dans les grandes surfaces mais pas chez les artisans" confie la sublime Emmanuelle. 

 

Source : "France-Dimanche" du 12 au 18 nov.2010

 

                       

 

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 21:18

Depuis juillet 2008, les antidouleurs sont en accès libre devant le comptoir dans certaines pharmacies. Il existe plus de 200 produits ou médicaments , composés à partir de trois molécules : l'aspirine, le paracétamol et l'ibuprofène. En France, le marché est colossal, on vend deux fois plus de ces produits en 2010 quand 2000.

 

 

 

Rediffusion d'une note du 10/06/2010

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 12:19

Une enquête récente d'Auto-Plus révèle que 66 % des radars sont disposés hors zone accidentogène. On peut penser que le but principal des radars est de remplir la cagnotte de l'Etat.

 

 

 

Rediffusion d'une note de juin 2010

 

 

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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 19:57

 

Quand Olivier Dahan la choisit pour incarner Edith Piaf, TF1 lui a préféré Audrey Tautou, divisé par trois sa participation financière dans la Môme. La une a manqué de flair puisque l'actrice a depuis décroché un césar et un oscar pour ce rôle.




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10 janvier 2012 2 10 /01 /janvier /2012 19:28

Il est même cité dans les guides touristiques comme n'importe quel 3 étoiles. Cet hôtel parisien se situe au dernier étage de l'hôpital de l'Hôtel-Dieu à Paris. Il accueille les patients en ambulatoire (60 euros) et les familles des malades (120 euros la nuit).La déco est chaleureuse, une receptionniste est à vos petits soins, on se croirait presque en voyage à Paris. Les touristes d'ailleurs y sont les bienvenus.

  

 

 

 

Pour des informations complémentaires, c'est par ici http://www.hotel-hospitel.com/

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 19:42

Non, le bestiaire parisien ne se résume pas aux pigeons, aux rats et aux blattes, et sa flore aux platanes et aux marronniers. 'La biodiversité est présente partout à Paris, quand on la cherche, quand on sait la voir', dit Philippe Jacob, responsable du pôle biodiversité de la capitale. Bien sûr, elle est moins riche que dans beaucoup d'autres régions. Mais dans ses bois, ses parcs, et ses friches, sur ses toits et ses balcons, au bord de ses voies d'eau, du périphérique, ou de l'ancienne petite ceinture, Paris abrite 2 000 espèces animales, et autant d'espèces végétales. Plus étonnant, tandis que la biodiversité diminue dans les campagnes, elle semble prospérer sur le pavé

'Il y a un enrichissement, explique M. Jacob. On voit à nouveau des espèces qui avaient disparu dans les années 1960.' Les orchidées, par exemple, abondent. Le héron, le pic vert, l'épervier d'Europe  le martin-pêcheur ont refait leur nid à Paris. L'Argus bleu - un papillon protégé en Ile-de-France - les libellules, sauterelles, grillons, tritons, orvets, réapparaissent. Des renards font quelques incursions

On aperçoit à nouveau des hérissons 'souvent écrasés hélas, car leurs chances de survie sur la chaussée sont minces', précise M. Jacob. Dans la Seine une trentaine d'espèces de poissons sont recensées (dix au début des années 1980). 'Le plus beau symbole de cette embellie est la présence de neuf espèces de chauves-souris, un animal menacé en France', poursuit M. Jacob.

Le même phénomène est observé dans d'autres villes françaises et européennes. Il est confirmé par les travaux du Muséum national d'histoire naturelle. Les populations d'oiseaux communs diminuent dans les milieux agricoles et forestiers, tandis qu'elles augmentent dans les milieux bâtis. 'La campagne est de moins en moins accueillante pour de nombreuses espèces, du fait de la destruction des haies et des friches. En parallèle, la ville devient plus verte', analyse Philippe Clergeau, spécialiste de l'écologie urbaine au Muséum.


[:aishiteimasu]
 

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 13:05

Elle a 36 ans mais on lui donnerait seulement 28-29 ans.

  

A l'âge d'être grand-mère et elle est toujours aussi ravissante. Quand on évoque Elsa Fayer, on pense aussitôt à femme à grosse poitrine. Elsa se démarque aussi des autres présentatrices par ses remarques souvent acerbes, elle n'a pas peur de blesser.

Elle a un physique avantageux. Mais Elsa est-elle une dragueuse ? "Moi je prends zéro risque. Je suis très timide et j'ai horreur du refus. Je suis orgueilleuse comme c'est pas permis. Si un mec refusait je ne m'en remettrais pas". Jolie comme elle, je ne pense pas qu'elle prendrait un seul râteau ! Elle devrait tenter sa chance.

 

Continuons avec les déclarations de Mme Fayer : "J'ai remarqué que les hommes beaux sont rarement avec de jolies filles. Pour moi, beau, c'est un mec sympa, plein de second degré. Moi par ex, je suis restée 12 ans avec mon ex-mari, presque la moitié de ma vie, avant qu'on ne se sépare".

 

 

Fayer a divorcé mais elle ne veut pas se remarier : "J'ai perdu un peu d'illusions : la grande cérémonie, la robe blanche... Ce n'est plus une priorité pour moi"

 

"Ne m'en parlez pas ma vie privée, c'était pire qu'une téléréalité l'année dernière ! J'ai tout enchaîné : j'ai divorcé, je me suis remise avec un homme et paf, qq mois après, je suis tombée enceinte de jumelles" a déclaré la sexy Elsa.

 

            

 

          

 

 

              

 

                 

 

                

 

 

 

Soruce : "Voici" du 13 au 19 nov. 2010

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