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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 15:27

Pendant près de deux ans, FRACHON Irène, pneumologue, s'est battue pour faire retirer de la vente le médiator, un médicament abusivement prescrit pour faciliter la perte de poids. Elle le raconte dans Médiator, combien de morts ed Dialogues.fr

  

 

                   

 

 

 

                         

 

 

 

La notice du médicament, vous la trouverez en cliquant sur ce lien

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 14:17

Selon une étude du Credoc, 13 % des Français doivent se limiter en matière de soins médicaux en raison de leur coût. Ils n'étaient que 3 %, il y a 30 ans. Plusieurs résultats de cette même étude traduisent une réelle inquiétude de nos concitoyens quant à la préservation d'une réelle cohésion sociale.

Le système de santé français est basé sur la prise en charge universelle et solidaire. D'une part, tout le monde cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins. D'autre part, tout le monde a droit à la même qualité de soins. Mais sur de dernier point, les Français voient leurs craintes augmenter. Selon l'étude du Credoc, "le sentiment que l'on est mieux soigné lorsqu'on a des relations et de l'argent s'est diffusé, année après année. L'impression de vivre dans un système de soins à deux vitesses, qui était auparavant surtout perceptible chez les Parisiens, s'est progressivement répandue sur l'ensemble du territoire : entre 1980 et 2010, la proportion d'individus pensant que l'on est mieux soigné lorsqu'on est aisé est passée en milieu rural de 52 % à 66 %; chez les Franciliens, la proportion atteint 73 %.

 

  

"De fait, on constate une augmentation de la part d'individus déclarant devoir s'imposer des restrictions budgétaires en matière de soins médicaux. Au début des années 1980, seuls 3 % de la population se trouvaient dans cette situation ; trente années plus tard, le taux a grimpé à 13 %", souligne le Crédoc. Ces restrictions volontaires ont-elles été majorées par les déremboursements ou baisses récentes de remboursements de nombreux médicaments usuels, la hausse du forfait hospitalier ou la mise en place de franchises médicales sur les boîtes de médicaments ? La prochaine enquête le dira, mais ces mesures récentes d'économie budgétaire de l'Etat ont peut-être pu conforter le sentiment que prendre soin de sa santé coûte cher, voire trop cher pour une partie importante de la population.

Logiquement les catégories les plus modestes sont celles qui souffrent le plus de ces restrictions : "en 2010, 18 % des ménages disposant de moins de 900 € par mois sont touchés, contre 5 % de ceux qui disposent de plus de 3 100 € par mois".

 

Cette situation inquiétante pourra-t-elle être corrigée par l'application de la loi HPST, avec une régionalisation des soins ayant pour ambition de ne laisser personne de côté ?

 

Luc Blanchot

Source : "Consommation et mode de vie", Credoc n°231, juillet 2010

 

 

 

Je pense aussi qu'une personne trop isolée et/ ou très vieille sera moins bien soignée. Quand on est malade, il est préférable de montrer qu'on est très entouré(e), même au médecin traitant. Il vaut mieux être toujours accompagné(e) lors des consultations importantes. Sans témoin, tout est permis... N'hésitez pas à payer des accompagnateurs qui joueront la comédie, qui se feront passer pour vos amis, vos voisins ou des membres de votre famille si vous êtes isolé(e)..

 

 

 

rediffusion d'une note du   17/07/20

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 14:08

Pourtant, pour toutes les filles prenant la pilule, c'est une petite avancée non négligeable dans la gestion de leur contraception. Plus besoin d'aller chez votre gynéco à la dernière minute, les infirmières pourront en effet renouveler les ordonnances de pilules contraceptives datant de moins d'un an, les pharmaciens de leur côté pourront les délivrer même avec une prescription " périmée". Ces mesures étaient inscrites dans la loi " Hôpital, Patients, Santé, Territoires " (HPST) de la ministre de la Santé Roselyne, votée en juin 2009. Toutes les pilules contraceptives existantes sont concernées par l'arrêté, a précisé le    

  

Le Conseil national de l'ordre des médecins (CNOM), hostile à l'autorisation donnée aux infirmiers de renouveler une ordonnance de contraceptifs ou aux pharmaciens de la prolonger, a recommandé à ses membres d'apposer sur leur ordonnance la mention "non renouvelable".

Le Journal officiel a publié mardi un arrêté, en application de la loi HPST du 21 juillet 2009, fixant la liste des médicaments contraceptifs oraux pour lesquels un infirmier est autorisé à renouveler les prescriptions datant de moins d'un an, pour une durée maximum de six mois non renouvelable. Un pharmacien peut aussi les dispenser sur la base d'une ordonnance dont la durée, de moins d'un an, est expirée.

Au moment de la discussion de la loi, le CNOM --comme il le rappelle mardi dans un communiqué-- avait demandé la suppression de ces dispositions "susceptibles de faire courir des risques aux patientes et d'entraîner une prise en charge dégradée des femmes".

Consulté sur le projet d'arrêté, il a maintenu ses réserves et "s'est inquiété de ce que la liste de médicaments fixée comprend tous les contraceptifs oraux, y compris ceux qui ont des indications très particulières", selon le communiqué.

En conséquence, "pour pallier les risques que le renouvellement d'une prescription de contraceptifs oraux, sans consultation clinique, pourrait faire courir aux femmes", le CNOM a invité les médecins prescripteurs à indiquer la mention "non renouvelable" sur l'ordonnance "dès qu'ils l'estimeront nécessaire".

  

  

  

  

 

 

 

 

Les gynécolgues ne sont pas des Don Quichotte pour la plupart, la véritable cause est financière... Les clientes qui ont des pertes de sang, ils les passent "en vitesse" entre 2 femmes enceintes, entre 2 "vraies consultations", ils bâclent les examens qu'ils font payer au prix fort...  s'ils sont équipés d'un échographe. Ces pseudos consultations durent 5 à 8 mn.

 

Leurs déclarations philanthropiques ne sont pas du tout crédibles. Un frottis peut être fait dans un laboratoire.

La plupart des gynécologues ne disposent pas d'échographe. Par conséquent, ils envoient les patientes chez le radiologue pour déceler les pathologies ou les cancers de leur spécialité médicale,  pour faire une simple échographie. Si une intervention chirurgicale est nécessaire, ils enverront la patiente vers un des rares médecins gynécologues qui pratiquent des opérations.

C'est une curieuse médecine, une curieuse spécialité...

 

  

Pourquoi refusent-ils, pour la plupart, les patientes séniors ? Pourquoi n'y a t'il pas de femmes aux cheveux blancs avec des cannes dans leurs salles d'attente comme chez les gastro-entérologues ? Ce sont pourtant les patientes qui ont le plus de risque d'avoir des cancer de l'ovaire, de la vulve, ou de l'uterus, du sein, etc. Plus on avance en âge, plus le risque de développer un cancer est élevé, non ?

 

 

La pilule est devenue un business avec les mycoses.

Mais toutes les jeunes filles et les jeunes femmes ne sont pas accros aux consultations des gynécologues.

Certaines seront ravies de les voir moins souvent, elles y vont par obligation. Quelques unes préfèrent commander leur pilule sur internet... ou opter pour le préservatif que d'aller se mettre toute nue devant un(e) inconnu(e) et de subir des examens très intimes... alors qu'elles sont en parfaite santé. Parler de sexualité avec un étranger, subir des interrogatoires, ça doit en reculer plus d'une... 

 

 

 

On devrait faire de même avec toutes les consultations abusives chez les médecins (hypertendus, dépressifs chroniques, diabétiques, insomniaques chroniques...). Les insomniaques, c'est tous les 28 jours 22 euros pour le médecin traitant pour écrire le nom d'une molécule...

 

Les infirmiers et les pharmaciens pourraient se substituer aisément au médecin traitant.  On ferait des économies et on aurait peut être plus une médecine de qualité, les médecins auraient plus de temps pour les véritables malades.

 

 

 

rediffusion d'une note du   02/06/2010 22:17

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 17:38
 

C'est une information du Parisien. Charlotte Gainsbourg  serait enceinte de son troisième enfant. L'actrice de 39 ans a déjà eu un garçon et une fille, Ben et Alice, avec son compagnon, le comédien et réalisateur Yvan Attal. Le Parisien affirme même que Charlotte Gainsbourg a renoncé pour cette grossesse à être à l'affiche d'"Une Nuit.

  

                      

 

 

 

Rediffusion d'une note du 06/02/2011

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 15:44

Les hémorragies sont la première cause de mortalité maternelle (9 décès sur 10 sont évitables dans ce cas). 9 femmes sur 10 qui font une hémorragie pourraient être sauvéés, mais on les condamne à mourir. 

Or, pour éviter que ces hémorragies ne provoquent le décès, il faut s'assurer que pour chaque accouchement, il y a en permanence la possibilité de réunir rapidement toute une équipe compétente, l'accoucheur, la sage-femme, mais aussi l'anesthésiste, le réanimateur, le responsable du centre de transfusion sanguine… Un des éléments qui nous permet d'espérer que la situation s'améliore à l'avenir est l'organisation des maternités en réseau.
Il faut savoir que plus les événements sont rares (comme les hémorragies massives), plus le personnel doit être entraîné pour y répondre efficacement. Ce n'est pas possible dans les petits établissements de santé faisant un nombre faible d'accouchements chaque année.


Je ne comprends pas que tout ne soit pas mis en oeuvre pour sauver ces vies de femmes.
Encore un problème majeur d'organisation. Ils ne sont pas très scrupuleux !!! :sleep::sleep:
Comment une maternité peut-elle fonctionner normalement si on n'a pas une équipe compétente en permanence et un responsable de transfusion sanguine ? Avant l'accouchement, on fait de la femme enceinte, une  très grande malade :lol:et elle est même à 100 % le dernier trimestre:lol: :lol:et... lorsque la jeune femme accouche, il manque du personnel soignant, ils ne peuvent pas faire face à l'urgence de la situation," bah, on fera ce qu'on peut.:sleep: Si elle décède on dira, ce sont les risques du métier. :sleep:On ne la connaissait c'était qu'une simple patiente, elle n'existait pas pour nous, elle n'était rien". :sleep::sleep: 

Je ne vois pas l'intérêt d'accoucher à l'hôpital, et en plus dans une position totalement inconfortable, si on ne dispose pas 7/7 et 24 h / 24 des soignants nécessaires à un accouchement. On ne doit pas y être plus en sécurité que dans des maisons de naissance (environnement humain et individualisé) ou même chez soi si la grossesse n'est pas à risque...



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Rediffusion d'une note du 20/01/2010

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 20:14

En dix ans, la consommation de cocaïne s'est étendue et démocratisée, tandis que l'héroïne, quasiment disparue dans les années 1990, fait aujourd'hui un timide retour. Ces deux constats émergent du rapport «Tendances récentes et nouvelles drogues», publié ce jeudi par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). Ils reposent sur l'observation des consommateurs réguliers et de l'espace festif, considéré comme à l'avant-garde des pratiques.

Autrefois réservée à une élite, la cocaïne se diffuse dans des sphères toujours plus larges de la société. Plus d'un million de Français l'ont expérimentée. Perçue comme une drogue festive et peu dangereuse (ce qui est totalement faux), son image est extrêmement positive. «Les publics qui la consomment sont désormais très diversifiés, du milieu festif aux classes moyennes», souligne Jean-Michel Costes, directeur de l'OFDT. Contrairement à une idée reçue, son usage est plus important chez les chômeurs que dans la catégorie des actifs.
 
C'est une drogue très disponible, qui emprunte les circuits de distribution du cannabis.

La cocaïne semble promise à un bel avenir. «L'attrait pour ce produit ne semble guère se démentir, malgré les conséquences problématiques, financières et psychiatriques en particulier, rapportées par les professionnels», souligne le rapport Trend, pour la période 2006 à 2009.

 

La réapparition de l'héroïne, désormais inhalée ou fumée, est également confirmée par les observations faites sur le terrain. «On la retrouve chez les toxicomanes, qui l'avaient délaissée, mais aussi dans des milieux mieux insérés, observe Jean-Michel Costes. Cette drogue n'est plus diabolisée.» Le phénomène, encore très marginal, mérite une surveillance particulière, selon l'OFDT. D'autant que le nombre d'overdoses est reparti à la hausse depuis 2003. Ces accidents pourraient s'expliquer par la méconnaissance des dangers de cette drogue
.

Le rapport Trend consacre par ailleurs un chapitre aux produits et aux trafics. À 5 € le gramme, la résine de cannabis est le produit le moins cher sur le marché - son prix n'a pas baissé ces dernières années. Il est aussi le produit illicite le plus consommé en France. La cocaïne reste, elle, la drogue la plus onéreuse (60 € le gramme en moyenne), alors que le gramme d'héroïne s'écoule à 40 € et d'ecstasy à 7 €. De fortes disparités, selon les régions ou la qualité du produit, sont cependant constatées.

 

La place, de plus en plus importante, prise par Internet ces dernières années est enfin mise en évidence. De nombreux sites proposent aujourd'hui un éventail de produits psychoactifs à l'attention de jeunes cherchant de nouvelles expérimentations : plantes et champignons hallucinogènes, drogues de synthèse, mélanges d'herbes. Ces produits sont généralement labellisés «légaux», mais leurs effets et leur toxicité sont peu connus des acheteurs.




Ne comptez pas sur mon blog pour avoir des adresses de sites.

 

Rediffusion d'une note du 5/02/2010

 

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 19:23

Votre utérus a été déchiré au moment de l'expulsion du bébé ou perforé lors d'un curetage ou vous avez subi une Hystérectomie sans ablation des ovaires.

 

 

Non , vous n'êtes pas stérile !

  

  

Il faut vous tourner vers la gestation pour autrui (GPA). Comme vous avez encore vos ovaires, vous pouvez encore être maman mais vous ne pouvez plus porter un bébé. Malheureusement, c'est impossible en France... mais c''est encadré aux Etats-unis. La FIV et la mère porteuse vont vous redonner espoir, et l'envie de  vivre. Il faudra indemniser la mère porteuse (8 000 à 45 000 euros) et le coût de l'intervention sera à votre charge (50 000 à 100 000 euros). Votre enfant, la chair de votre chair sera une "sans-papiers, à cause du vide juridique.

  

 

 

                   

                   

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 18:13

A regarder ce soir "Ils font bouger la France" sur France 2 à 20h 35

Pas rassurant du tout de voir une aussi mauvaise organisation, les médicaments qui sont sortis de leurs boites, le "dangereux"chlorure de potassium qui côtoie "l'inoffensif" glucose. Les poubelles qui sont dans les couloirs. Les chirurgiens qui enchaînent 20 ou 40 opérations de cataractes ou autres dans la même journée dans le privé..... Les médecins des urgences qui font 12 ou 24 heures d'affiliée sans prendre de repas, le ventre vide et sans se reposer...  Les blocs opératoires qui ne sont parfois nettoyés à fond que toutes les 3 semaines, faute de personnel ou par paresse...  Les aides soignantes qui se substituent aux infirmières au bloc et pour donner les médicaments, elles reviennent moins chères et devant la pénurie d'infirmière, on demande aux aides soignantes de faire le boulot d'une infirmière. Les infirmières et les médecins étrangers qui ne savent même pas parler la langue française et qui n'ont pas fait médecine en France sont embauchés sans aucune évaluation sans aucune remise à niveau


Rediffusion d'une note de juillet 2009

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 19:03

Trop chers. Les soins dentaires sont inaccessibles à une partie croissante de la population, selon un rapport de la Cour des comptes sur les comptes sociaux. En 2006, 63% des cas de renonciation au soin concernait le dentaire, rapporte Le Point citant une enquête «Santé et protection sociale» de l’IRDES.

Outre le montant, la Cour des comptes insiste sur l’opacité des coûts des soins et des prothèses et souligne le faible remboursement des soins. Par exemple, souligne le Point, une couronne coûte de 275 à 760 euros, mais elle ne sera remboursée que 75 euros par la sécurité sociale. Le prix d'un implant dentaire varie de 2 000 et 3 500 euros. Qui peut se payer un implant à 3 000 euros qui va peut être tenir 2 jours ou 4 semaines ou 6 mois (s'il est de piètre qualité et /ou  si le dentiste est un(e) empoté ou (e) et/ ou un saboteur ou une saboteuse) ???

Ils sont de plus en plus nombreux à nous arnaquer sur la qualité des matériaux.

  

 

 

 

 

              

 

                         

 

                

                     

 

                                    des diamants....

 

  Rediffusion d'une note du 10/09/2010

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 21:51

Il se verrait bien à la tête d'une banque ou d'une entreprise industrielle (auteur)
C'est une méningite qui aurait provoqué l'anorexie de Laurence Chirac. Longtemps, Jacques Chirac s'imposera de venir déjeuner chaque jour avec sa fille malade, comme les médecins le lui ont recommandé. Peu importe les repas officiels. il arrivera en retard et mangera une deuxième fois, ce qui n'est pour le gêner (un appétit d'ogre). Rien n'y fait ! Les tentatives de suicide et les hospitalisations se succèdent. Elle a en fait une quinzaine ! (l'auteur)

Entre deux rechutes, Laurence poursuit ses études de médecine.
Dans le flatteur, claude, l'autre fille des Chirac voit toujours un traître
"Cette situation n'est pas saine, susurre Bernadette à qui veut l'entendre. Une fille ne doit pas travailler avec son père"

 

 

 

Rediffusion d'une note du 27/05/2009

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