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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 19:12

Déjà pour ceux qui sont d'âge mûr et qui ne sont plus des grands naïfs, vous savez qu'avant d'être un médecin , le soignant est aussi un homme ou une femme et qu'il ne peut pas tout entendre,que le serment d'Hippocrate est une belle utopie dont les médecins dans l'immense majorité se contrefichent éperdument. Ils ont tous une éthique qui leur est personnelle, et parfois une "éthique" très singulière,  très "immorale" pour certains avec les patients les plus vulnérables, les plus isolés, les plus âgés...[:garance06]Certains sont pour l'eugénisme à petite échelle, ils pratiquent aussi une forme d'euthanasie passive, en refusant tout soin à des personnes atteintes de maladies orphelines, des personnes trop isolées (sans témoin) ou des personnes très âgées et sans famille, tout examen, tout traitement... qui pourraient les sauver . Ce sont des médecins qui nuisent sciemment aux patients... pour une idéologie  et les condamnent à mort parfois. Le médecin n'est qu'un humain et un humain névrosé comme tous les humains avec un pouvoir immense sur les patients qui le consulte.

Je ne vais pas faire un procès des médecins, nous les patients, nous ne sommes pas des petits angelots, non plus. Un but partout !

Eh oui tous les patients ou presque mentent. "Monsieur, vous buvez combien de verre par jour " et l'alcoolique chronique répond "oh, un verre de temps en temps ou pour les banquets ou le samedi soir":lol: ou "vous prenez de la drogue, Monsieur ?" et le drogué qui se défonce à la blanche répond " non. Que du doliprane ". :lol: 

Pour les patients, le médecin c'est le grand sorcier diplômé, un demi-dieu. Celui qui détiendrait un savoir médical immense, un génie grâce à ses 9 ou 15 années de médecine. Depuis la naissance de la sécurité sociale, le paysan et l'ouvrier ont délaissé les guérisseurs sans diplôme pour le médecin, c'est devenu gratuit. [:garance06]Autrefois dans les campagnes on faisait plus confiance aux guérisseurs, à ceux qui avaient des pseudo-dons, qu'aux médecins car on pensait que les années d'études ne donnaient aucun don particulier, [:garance06] enfin pas celui de guérir. On pensait également que tous les médicaments étaient des "poisons".  

Le don de guérir se transmettait de mère en fille ou de père en fils ou le don on le passait à un(e) voisin(e) si on n'avait pas d'enfant ou de neveu dans la famille, il ne fallait surtout pas qu'il se perde, il était si précieux... [:garance06]Aujourd'hui on pense que les médecins et les médicaments font des miracles, les mentalités ont changé,  que la médecine est devenue miraculeuse même si on meurt toujours autant de "longues maladies"... Les antibiotiques, les vaccins principalement font des "miracles" mais beaucoup de médicaments sont de la poudre de perlimpinpin (75 %).


Le médecin c'est aussi un juge car il se comporte souvent comme ceci. Le cabinet médical, avec quelques médecins, est plus proche d'un tribunal que d'un lieu de soins. On lui confère du pouvoir et il en abuse parfois. Il se comporte comme un gendarme qui vous a pris en excès de vitesse. [:garcon-du-sud]Il en a de plus en plus d'autorité depuis le nouveau statut du médecin généraliste, il a pris du galon, il est devenu médecin traitant, c'est une régression pour le patient, qui est infantilisé et qui ne peut plus demandé un second avis...  
Mis à nus, dans tous les sens du terme, les patients ne se sentent pas en sécurité face au médecin et ils se prémunissent, ce qui induit obligatoirement des comportements de simulation et de mensonge.:sweat:C'est déstabilisant d'être tout nu devant un médecin et d'être allongé sur une table d'examen, on est en position d'infériorité, de soumission face au "maître"...  
Alors qu'en théorie, le médecin idéal devrait être l'instrument thérapeutique qui aide à moins souffrir.:love: Il devrait savoir écouter, peser chacun de ses mots,:love: partager son savoir:love:et non pas mentir sans vergogne et abuser de la crédulité du patient comme quelques-uns le font avec délectation, entendre les doutes, comprendre les émotions, hocher la tête, tenir la main etc... 


La pudeur ne devrait pas existé si le médecin se comportait toujours en médecin et qu'il ne fasse pas des remarques acides sur les rondeurs, les chaires flasques, les visages rides etc. Il n'a pas à manifester son dégoût pour la maturité ni la vieillesse. Pourtant, un jeune médecin , ça n'existe pas , ils n'ont plus 20 ans depuis longtemps quand ils sont enfin médecins... Un médecin n'a aucunement le droit d'humilier, il doit être dans son rôle de soignant.
La relation de confiance n'est pas facile a établir, un certain nombre de médecins sont très arrogants. Certains manquent de tact ou sont cyniques voire malveillants envers les patients. C'est une dérive de la médecine.


Le patient mentirait "par affection" au médecin traitant pour ne pas lui faire de la peine, en lui cachant qu'il va voir un autre généraliste homéopathe pour des soucis de santé qui le soulage mieux que ceux de son médecin traitant etc. :whistle:Les patients mentiraient au médecin car ils aiment leur médecin comme un membre de la famille ou un ami et ils voudraient cacher leur "infidélité honteuse".Ils "cachent" aussi "leur infidélité" car le médecin se mettrait en colère devant ce manque de confiance et pourrait même leur demander de changer de médecin... D'autres le font parce qu'ils ont besoin de voir plusieurs médecins qui se compléteraient pour en faire un idéal  mais attention aux interactions médicamenteuses, faites confiance au pharmacien.:whistle:


On ment aussi par intérêt, pour obtenir un médicament, les médecins connaissent bien ce mensonge.:pt1cable:

En gynécologie, beaucoup de femmes mentent sur leur âge pour ne pas faire partie des ménopausées, c'est de la coquetterie. :DMais ça risque d'être dévoilé avec un petit bilan hormonal.  Personnellement, je pense que si on ment sur son âge, on va mentir sur tout...:non: 

Les mythomanes ou les menteurs chroniques mentent sans aucune raison au médecin, c'est dans leur nature. :D

Chaque année au mois de mars, les cabinets de médecins traitants sont envahis par des cohortes de femmes qui font "de la rétention d'eau" ou "des grandes déprimées".:D Le but du jeu ? :whistle:Obtenir des diurétiques pour perdre leurs petites bouées ou du prozac parce qu'elles ont vu que ça ferait maigrir en plus de soigner la dépression.:D Hélas, ça peut engendrer des problèmes hépatiques, cardiaques et thyroïdiens à long terme.

 

 

Et si un bon médecin était celui qui nous donnait envie de parler vrai ?




        






              
                

 

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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 17:58

Une nouvelle affaire de canapés et chaussures chinois contaminés au diméthylfumarate préoccupe l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset) chargée  de l’évaluation des risques liés aux produits chimiques.

L’Afsset va analyser l’ensemble des logements qui auraient été contaminés au diméthylfumarate (DMFu), un produit anti-moisissure retrouvé dans les chaussures chinoises, provoquant chez certaines personnes des réactions allergiques de type eczéma de contact.

Les premières suspicions de cas d’allergie cutanée liés à cette substance ont été portées à la connaissance de l’Institut de veille sanitaire (InVS) le 1er septembre 2008. Dès cette date, l’InVS a transmis cette information au réseau des centres antipoison et de toxicovigilance, afin qu’ils rapportent tout cas similaire qui leur aurait été signalé.

Aujourd’hui, des travaux sont en cours afin de réaliser un bilan des différentes informations parvenues à l’InVS, non seulement en provenance des centres antipoison et de toxicovigilance, mais également des autres sources d’informations constituées par le réseau de partenaires de l’InVS.

Les centres Antipoison (CAPTV), qui assurent l’information sur les risques toxiques de tous les produits existants, médicamenteux, industriels et naturels, ont reçu 134 signalements en un an, dont 97 pouvant être directement imputés au DMFu, et 28 cas certains




2009


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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 12:36

Un centre d'Ermenonville a été fermé et son directeur mis en examen pour homicide involontaire. Une enquête a révélé au moins trois décès suspects et de graves négligences.


Cet homme d'une quarantaine d'années est le propriétaire et le directeur du Pavillon Girardin d'Ermenonville, un foyer privé qui accueille des victimes d'accidents de la route polytraumatisées, en état de forte dépendance.

«Une prise en charge sanitaire déficiente» chez des patients «dont l'urgence vitale pourrait être engagée». Un centre privé pour handicapés d'Ermenonville, dans l'Oise, a été fermé jeudi en urgence par le préfet, révèle le Parisien de samedi. Les douze patients trachéotomisés du pavillon Girardin ont été transférés vendredi vers un établissement spécialisé de Berck-sur-Mer. Plusieurs inspections de la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales ont mis au jour de graves négligences dans la prise en charge des malades. Un lien serait possible entre le décès de trois patients trachéotomisés survenu au cours des quatre derniers mois et un défaut de soins, estime le préfet de l'Oise, Nicolas Desforges. Mais le parquet de Senlis désirerait faire la lumière sur au moins 13 décès et a demandé que les investigations portent sur les trois dernières années.

Lors de leurs inspections du 23 et 24 novembre, les services sanitaires et la brigade de recherche de la gendarmerie ont constaté une série de dysfonctionnements : actes techniques du type aspiration trachéale accomplis par des aides-soignants non qualifiés, administration de morphine sans ordonnance valide, prescription d'un traitement à un malade reconnu allergique au produit, stock de médicaments périmés, absence de suivi dans les dossiers médicaux depuis quatre mois... La DDASS cite l'exemple d'une infirmière ayant délégué à une aide-soignante non-diplômée des actes techniques sur un résident ou encore la prescription de médicaments inadéquats
Le centre aurait notamment fonctionné avec des effectifs insuffisants et sous-qualifiés.

 

Soupçon d'escroquerie également

 

Le directeur du pavillon Girardin, Gilles Vernier-Briesto, a été mis en examen par un juge d'instruction de Senlis pour homicide involontaire, «délaissement de personnes incapables de se protéger», escroquerie et mise en danger d'autrui. Il est par ailleurs soupçonné d'escroquerie en lien avec des remboursements consentis par la caisse d'assurance-maladie à la demande de son service. Il a été laissé libre et placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer une activité en rapport avec ses précédentes fonctions.

Les soupçons des autorités ont débuté en avril. Sur signalement de proches de malades, la DDASS avait réalisé une première inspection au printemps. Des observations sont faites, mais la direction de l'établissement n'en a pas tenu compte comme le démontre le nouveau contrôle en début de semaine. La fermeture de l'établissement a provoqué la stupeur chez certaines familles qui évoquent des «soins de qualité».
«Mon fils a toujours été bien traité. Je n'ai jamais eu aucun reproche à faire à l'équipe médicale. J'espère que l'enquête aboutira à un non-lieu et que mon fils reviendra très vite à Ermenonville», témoignait la mère d'un des résidants dans les colonnes du Parisien. On préfère parfois se voiler la face que d'affronter la dure réalité devant l'impensable...

Le centre a été placé pour une durée de six mois sous la tutelle d'un administrateur.

Voici d'autres témoignages que j'ai recueillis sur internet et qui vont dans ce sens



"ma mere a ete endormie a la morphine pour une otite , les medecins ont continué la morphine pour l'habiller plus facilement . Elle en est morte . 3 deces en moins de 2 mois sur 18 residents. il y en a eu d'autres mais on ne le diffuse pas dans cette maison medicalisée d'une grande ville ou la ddass ferait bien de mette son nez les gens couchés par manque de personnel le service des repas expediés les pots d'eau souvent hors de portée les fenetres ouvertes sur des residents aux blouses d'hopital a peine fermées les sonnettes qui ne repondent pas quand elles sont a portée de mains l'animatrice qui n'anime rien".


doudoune :   "je lance moi aussi un appel à ttes les familles ou proches de victimes... Le jour est venu de dire les choses, arrêtons de protéger des gens sans scrupules. Le premier pas est fait, vous n'avez plu qu'a briser le silence, afin justice va être faite"



 "Je ne suis pas étonnée du tout. comme le dit fleur bleu cette famille n'en ai pas à son premier coup d'essai.Et non ce n'est pas de l'acharnement ! tout le monde sait dans le village que cette famille ne vit que pour l'argent. Ils se fichent de l'aspect humain. Malheureusement de nombreux établissements sont concernés par ce type de problèmes. c'est honteux de profiter de la détresse des malades (que ce soit de la gériatrie ou des grands handicapés".

 



"Malheureusement c'est la réalité. Heureusement certains établissements restent correctes. La misère des autres est rentable".
Rediffusion d'une note du 28/11/2009

 

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 21:31

Trois enfants découverts morts samedi matin dans une maison incendiée à Haguenau (Bas-Rhin) avaient été égorgés, a-t-on appris de source judiciaire.

Les victimes sont trois fillettes âgées de 13, 11 et 5 ans dont les parents vivaient séparés, a précisé à Reuters Olivier Glady, magistrat de permanence au parquet de Strasbourg.

Leur père, au domicile duquel les pompiers sont intervenus peu après 8h00 samedi matin, est toujours recherché, selon le parquet. "La possibilité qu'il se trouve dans les décombres de la maison n'est pas éliminée", a déclaré Olivier Glady.Le drame s'est joué dans une maison de deux niveaux implantée au coeur d'un quartier résidentiel de Haguenau. Vers 14h00 samedi, les pompiers étaient toujours présents sur place tandis que des officiers de police judiciaire effectuaient les premières constatations.

J'espère qu'on ne va pas une fois encore nous faire passer ce carnage pour un crime passsionnel... Il a utilisé la manière la plus barbare, la plus douloureuse pour tuer, pour détruire sa famille. Tuer ses trois enfants de la sorte, il faut être vraiment sadique : le plaisir de les voir souffrir atrocement, de se vider le leur sang...  C'est un monstre ! Chaque enfant devait entendre son tour, voir son frère ou sa soeur se faire égorger sous ses yeux, le sang, les cris... l'horreur absolue...
Cet individu n'a rien d'humain, il est la cruauté incarnée. Ce genre de personnage déteste généralement sa compagne et ses enfants, et il ne veut pas vivre seul, la solitude l'effraie, il préfère tout détruire que de se retrouver seul. Un meurtre par égorgement dénote toujours une personne profondément cruelle, qui se délecte de la souffrance des hommes, c'est peut être aussi un malade mental. Le meurtre par égorgement, c'est le sadisme à son paroxysme !
 

Ce qui m'interpelle, c'est comment une femme peut faire 3 enfants avec ce type d'individus ?  Elle veut vraiment se reproduire ou avoir des enfants avec le premier venu, la pire des ordures !

Ces barbares ne passent pas au crime ainsi, ils sont généralement profondément mauvais en paroles et en actes, on peut deviner que tuer pour eux, c'est tout à fait faisable, normal... qu'ils sont très "courageux". Il y a toujours des signes annonciateurs, bien avant " la boucherie", qui devraient interpeller...


On voit que les enfants ne sont que des objets dans la famille, des faire-valoir. Ils font partie des biens de la famille  Les histoires de cul et de rupture sont prédominantes dans la vie de famille.
Quand on divorce, on se soucie très peu de savoir si on va rendre les enfants heureux ou pas, une semaine chez l'un, une semaine chez l'autre. La mère part  parfois vivre à 400 km de là , qu'importe si les ados seront séparés de leurs amoureux. Les adultes sont avant tout deux égoistes: seules les histoires de fesses et de coeur des "grands" sont importantes... Les adolescents ou les jeunes adultes n'ont pas le droits de ramener dormir leur copain ou leur copine à la maison, ça choque trop les parents,qu'ils aillent faire leur "cochonerie", dans des lieux publics sous le regard des vieux, des enfants en bas âges et des voyeurs, c'est beaucoup mieux...  En revanche, les enfants même très jeunes ne doivent pas être indisposés par les orgasmes bruyants des parents.Ils ne doivent pas être troublés en suprenant les ébats des parents, à 4 ans comme à 13 ans. S'ils sont très petits, ils vont simplement croire que papa fait du mal à maman...

 

Redifffusion d'une note du 03/01/2010 13:24




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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 15:42

Quelques allégations de François Cluzet :

 

" A 20 ans, j'ai été amoureux d'un ami. Je l'ai désiré. J'en ai souffert pendant très longtemps, car je n'assumais pas".

  

"Les copains d'abord ? Jamais! J'ai toujours pensé l'amour d'abord. Je n'ai pas beaucoup d'amis et je n'en cherche pas. Je suis assez solitaire. Mon bonheur aussi, avant l'amitié, c'est d'avoir quatre enfants" (un avec la regrettée Marie Trintignant).

 

"En amitié, on doit se manifester avant tout une confiance aveugle. Mais de qui est-on certain ? L'amitié est un pacte ! Seuls les amis peuvent vous récupérer en mille morceaux. Pas besoin d'aller briller devant un ami. Un copain c'est différent : lui il est là pour les bulles et le champagne".

 

Voici la définition du couple de François :"C'est deux sexes en éveil. C'est le seul intérêt d'être en couple. Si lé désir n'est plus là, c'est un groupement d'intérêt une SARL"

 

 

 

 

 

 

 

Source : "Ici Paris"

Par Authentiqua
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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 21:16

La superbe Victoria Silvstedt a 36 ans et elle n'a rien d'une grand-mère, c'est une véritable bimbo. Elle est la Dalida des années 2000. Toutes les petites filles et toutes les adolescentes rêvent de lui ressembler.

  

Elle vit entre New-York et Monaco, elle travaille à Paris et à Londres. Elle tourne aussi la roue de "la roue de la fortune" en Italie.

 

Cette si jolie poupée est issue de la classe moyenne en Suède. Ses parents ne pouvaient pas l'aider, elle a commencé toute seule, sans argent.

 

Avec son corps aux mensurations idéales et un visage si parfait, elle a débuté comme mannequin. Elle a été très choquée par ce qu'elle a vu dans ce milieu, elle était aussi très naïve. Je la cite "La mode est un milieu très sale, très dur. En tout cas, à mon époque... C'était même dangereux pour les jeunes filles".

 

 

Lorsqu'elle a commencé à défiler, on lui reprochait d'être trop pulpeuse, trop ronde. Elle est alors tombé dans l'anorexie. Pendant 2 ans, Victoria n'a pas eu ses règles...

 

La créature de rêve est déçue d'être, parfois, prise pour une femme facile.

 

En 1997, elle a épousé Chris et ils ont divorcé 10 ans plus tard.

 

Elle a avorté peu de temps après avoir rencontré Chris. Ils ont décidé d'un commun accord de ne pas garder le bébé. "Cela reste encore très difficile pour moi d'en parler. Parfois je me demande à quoi il ressemblerait. Si j'avais gardé ce bébé, peut-être que ma vie serait complètement différente".

Victoria pense à devenir maman. Il serait regrettable qu'une femme à la tête si bien faite et si bien remplie ( elle parle 5 langues) n'ait pas de descendance. Tous les hommes de France rêveraient de lui faire un enfant...

 

 

 

 

 

 

 

                          

 

                          

 

Rediffusion d'une note du 08/02/2011

 

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 17:24

C'est un livre de la rentrée et assurément un des best-sellers de l'automne. Il s'intitule "Je ne pouvais pas l'abandonner, le choix de comprendre" ed. Michel Lafon

 

 

Un livre qui sert de psychothérapie ou un livre pour entretenir la célébrité ?

  

Les Courjault ont deux grands garçons de 16 et 14 ans. 

 

 

Jean-Louis Courjault parait toujours être un homme très épris de sa femme, une  femme à qui il peut tout pardonner, même l'impardonnable. Même l'inhumanité, le meurtre de ses propres enfants n'ont rien changé aux sentiments qu'il avait pour sa femme, c'est un amour fou... et vraiment inaltérable.

 

 

"Je n'ai rien vu des grossesses de ma femme parce que rien ne se voyait" répète une fois encore Mr Courjault

 

Les enfants vivants ont-ils été traumatisés ? Selon la version du papa, ils iraient bien. Ils ont quand même poser quelques questions à leur père dont "pourquoi a-t-elle tué les autres enfants ?". Le papa, attentionné, a répondu qu'il ne savait pas, que leur maman avait été malade, qu'elle avait perdu les pédales et que personne ne s'en était rendu compte.

 

 

 

Plus d'une fois il a entendu des blagues sur les congélateurs à la radio alors qu'il était avec ses enfants.

 

 

Les deux ados seraient plus mûrs que d'autres adolescents, moins naïfs. Ils auraient plein de copains et d'activités.

 

Ils ne sont pas ravis que leur papa écrivent un livre sur leur mère, ils voudraient tourner la page. Il en serait de même pour Mme Courjault, qui n'aime pas remuer le passé, un passé très douloureux. Néanmoins, Véronique Courjault comprend parfaitement que son mari ait eu besoin d'écrire ce livre.

 

Véronique Courjault n'a pas le droit d'évoquer l'affaire de façon publique elle n'a donc pas pu collaborer à l'écriture de ce livre. Elle ne pourra pas écrire son autobiographie avant octobre 2013. 

 

Mme Courjault travaille a mi-temps comme assistante de direction dans une entreprise industrielle. Elle a du temps pour ses loisirs et pour s'occuper de ses 2 grands enfants. Elle est parfaitement bien insérée dans la société. 

 

 

Mr Courjault avoue "Lorsqu'elle était triste sans vouloir m'en donner les raisons, je me mettais en colère ou je me retranchais un peu facilement en estimant -ça ira mieux demain-".

 

"Le mari préoccupé par le boulot et la moto, c'est grotesque. J'encourageais Véronique à nouer des relations sociales quand elle n'en avait pas, je la poussais à avoir de l'ambition "

 

 

Ils ont donné un nom et un prénom aux enfants assassinés et ils ont une sépulture. 

 

 

 

                                        

 

 

Une petite pensée pour les 3 bébés qui ont eu la vie ôtée...

 

 

Rediffusion d'une note du 25/09/2010

 

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 17:33

115 en 2009, contre 109 en 2008. Le nombre de morts est à la hausse. Et encore 5 depuis début janvier. Dans ce domaine, la France détient un sinistre record en Europe.Loin devant l'Espagne, pourtant en situation de surpopulation carcérale.

« Ces chiffres sont dramatiques. » Hier, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a dressé le triste bilan des suicides en détention. Il s'élève à 115, contre 109 en 2008, et 93 en 2006. Si l'on y ajoute les personnes en semi-liberté, en hospitalisation ou sous bracelet électronique, on compte alors 122 suicides. Les surveillants ne sont pas épargnés : dix-sept d'entre eux se sont donné la mort.

La ministre veut croire toutefois que le plan anti-suicides, présenté l'été dernier, a été en partie efficace. Avant : 84 suicides. Après : 31. Les maisons d'arrêt sont les plus touchées (80 % des suicides). 10 % des victimes étaient de nouveaux arrivants. 15 % étaient au mitard. Méthode employée : la pendaison dans 90 % des cas.

Pierre Botton en mission


Les futures prisons françaises seront-elles moins anxiogènes ? Un programme de 5 000 places supplémentaires est en préparation. Il devra être conforme aux principes adoptés l'an dernier par la loi pénitentiaire. Taille moyenne des établissements : 600 à 700 places. Priorité aux cellules individuelles (9 m2). Du coup, moins de prisons anciennes seront fermées : 60 et non plus 83 d'ici à 2017, mais rien ne sera décidé « sans concertation avec les élus locaux ». Le programme prévoit aussi de tripler la surface des lieux dédiés à l'activité des détenus : ateliers, gymnases, stades...

Aujourd'hui, trop de détenus souffrent de troubles mentaux.
Des unités hospitalières spécialement aménagées vont ouvrir. La première fin 2010 à Lyon. La seconde à Rennes en 2011. Au total, en 2017, l'administration pénitentiaire disposera de 68 000 places de détention.

La ministre a confié une mission à Pierre Botton, ex-détenu très médiatique (affaire Noir-Botton à Lyon). Il propose de nouvelles façons d'accueillir les détenus et d'éviter le choc carcéral. Prison test : la maison d'arrêt de Nanterre, déjà pionnière dans ce domaine.





Je pense que pour supporter le milieu carcéral, il faut être extrêmement fort. J'ai le sentiment que si on est pas fou on le devient dans ce monde déshumanisé...  Il faut aussi évoquer la maltraitance en prison, elle est très présente, de la part d'autres détenus mais aussi de la part de certains surveillants de prisons qui sont des dépressifs, des sadiques (abus de pouvoir) ou des malades mentaux. Les pires bourreaux ne sont pas toujours du côte que l'on croie...

rediffusion d'une note de janv. 2010

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 20:09

 

 

 

Ils'appelait John Emil List,et résidait dans le New Jersey. Ayant perdu son emploi,il passait ses journées à errer, feignant de partir travailler tous les jours, car il avait omis d'en informer ses proches. Criblé de dettes, en 1971, il avait alors supprimé toute sa famille, c'est-à-dire sa mère de  85 ans, sa femme de 46 ans et ses trois enfants, et avait parfaitement orchestré sa disparition.

Méthodiquement, avec sang-froid, il avait d'abord tué sa mère et son épouse au matin du 9 novembre 1971. Deux de ses enfants Patricia, 16 ans, et Frederick, 13 ans, étaient à l'école et quand ils étaient rentrés à la mi-journée, ils les avait tués. Puis, tranquillement il s'était préparé à manger,et était parti assister au match de football de son dernier fils, John, Jr, 15 ans. Ensuite il l'avait ramené à la maison et lui avait tiré une balle dans la tête. Puis, bizarrement, il avait tiré une dizaine de fois sur le corps sans vie de son cadet.

Pour retarder toute découvertede ses meurtres, John List avait signalé aux établissements scolaires de ses enfants qu'ils seraient absents pendant plusieurs semaines car ils devaient rester en Caroline du Nord. Il avait également mis fin à tous leurs abonnements postaux, et aussi la livraison de lait. Puis il avait nettoyé la scène du crime et déplacé les corps. La tuerie avait été découverte un mois après les faits, ce qui prouve que sa manoeuvre avait été très efficace.

On avait découvertsa voiture sur un parking d’un aéroport new-yorkais, et avait disparu totalement sans laisser aucune trace d’enregistrement à bord d’un vol, d’un train ou d’un bateau.

Ne trouvez-vous pasque cette macabre histoire rappelle celle de la famille Dupont de Ligonnès ? Même sang-froid dans l'organisation et l'exécution de la tuerie. Même mobile ou raison qui les ont poussés à supprimer leur famille : les dettes. Même minutie dans le scénario de la fuite : découverte de leur voiture sur un parking, puis plus rien. Qui plus est, on découvre que John List est un catholique pratiquant, comme Xavier Dupont de Ligonnès.

Quelle est la suite de l'histoire de John Emil List ? Et bien on l'a retrouvé grâce à une émission de télévision "America'sMost Wanted" 18 ans plus tard. Ils se sont servi d'une sculpture représentant l'homme qui aurait vieilli et qui était, paraît-il très ressemblant.

Et cela a fonctionné,car le 1er juin 1989 il a été arrêté dans le Colorado sous un faux nom, bien sûr. Il a vécu 18 ans "tranquillement". Il s'était remarié sous le nom de Robert Clark. Lors d’une interview à ABC, il avait expliqué qu'il ne s'était pas suicidé, afin que ce geste ne lui ferme pas la porte du paradis dans lequel il espérait retrouver toute sa petite famille. S'il s'était suicidé, il lui aurait été impossible d'aller au paradis, tabou religieux oblige.

Il a été condamné en 1990 à la prison à vie cinq fois, correspondant au cinq meurtres, et il décèdera à 82 ans, en 2008, d'une pneumonie. On ne sait pas si Dieu lui a ouvert la porte du Paradis!

Donc si Xavier Dupont de Ligonnès est dans le même schéma, sa cavale n'est pas prête d'être terminée. Mais à la différence de celle de l'Américain, c'est que la France est un tout petit pays en surface, et que s'il veut vraiment refaire sa vie comme celui-ci, il est obligé de s'expatrier. Ce qui, à mon avis, est déjà fait, et où ? Et bien aux États-Unis par exemple, pays qu'il désirait depuis longtemps rejoindre, et avec de faux papiers évidemment.

De toute façon s'il est encore en France, il ne faut pas compter pour le retrouver sur une émission de télévision du genre de "America's Most Wanted", car il n'en existe pas en France ou plutôt plus!

 

http://www.lepost.fr/article/2011/05/07/2487882_tuerie-de-nantes-xavier-dupont-de-ligonnes-copie-un-meurtrier-americain-john-emil-list.html

 

 

 

Je pense que Dupont de Ligonnès s'est inspiré de cette tuerie. Contrairement à son modèle, il n'a pas tué sa mère. J'espère pour cette dame qu'il ne va pas revenir pour la tuer. Pourquoi l'a t-il épargnée ? Les personnes dérangées ou perverses s'identifient aux assassins alors que les personnes qui sont en bonne santé mentale s'identifient aux victimes dans les tueries.

Je redoute que si on  ne le retrouve pas rapidement, d'autres déséquilibrés vont suivre son "exemple"...

 

Messieurs, si vous êtes dans une situation similaire, dites à votre femme que vous allez chercher du pain, partez pour toujours et refaites votre vie dans un autre pays. Merci par avance.

 

 

Rediffusion d'une note de 2011

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 19:02

 

 

 

Jamais sans mon placenta

C’est le très sérieux New-York Times qui, le premier, a braqué les projecteurs le mois dernier sur cette pratique – pourtant ancienne. D’après le magazine, aux Etats-Unis, ingurgiter son placenta serait monnaie courante. Christine Lewicki, business coach et auteure du célèbre « J’arrête de râler« , est une Française expatriée à Los Angeles. Si elle-même ne se voyait pas le manger, elle a déjà côtoyé cette pratique et nous confirme qu’elle n’est pas rare : « Je connais plusieurs mamans qui ont mangé leur placenta ; une amie a préparé une soupe pour ma voisine, une autre amie a donné son placenta à une pharmacie chinoise qui l’a séché et en a fait des capsules : dedans, il paraît qu’ily a toutes les vitamines nécessaires pour se remettre de la grossesse. »

Utiliser son placenta n’est pas une nouveauté.Dans certaines cultures, on ne mange pas le placenta mais on l’enterre. Ainsi Christine Lewicki a opté elle-même pour cette solution : « Je l’ai mis sous un arbre, en l’honneur de ma fille. J’ai bien aimé le rituel de le mettre dans la terre. Le plus surprenant a été de voir l’herbe toute verte autour de l’arbre». Anne, agricultrice près de Chartres, a aussi enterré ses placentas : «J’ai accouché à domicile, il était donc facile pour moi de les conserver. Pour chaque grossesse, mon mari a enterré le placenta des filles sous un arbre ; chacune a donc son arbredédié… C’est un souvenir, un hommage à MèreNature » argumente la jeune mère. A l’hôpital, en revanche, il s’avère plus difficile de repartir, après le séjour à la maternité, son propre placenta sous le bras… ou de le manger à l'hôpital aux repas :lol::lol:

Cannibalisme, anthropophagie ?

Nos compatriotes françaises semblent, elles, assez réticentes. Impossible de trouver une mère ayant déjà dégusté du placenta et acceptant de témoigner, malgré nos recherches auprès d’associations et de forums divers et variés. Au contraire, les réactions sont assez prudentes, voire moqueuses, évoquant le cannibalisme et demandant si l’on doit préparer une sauce tartare pour l’accompagner, le manger avec les doigts dès la naissance ou l’agrémenter de frites fraîches. Alors, les mangeuses de placenta sont-elles des Hannibal Lecter en puissance ? Que nenni, si l’on en croit le Laroussequi rappelle la définition du cannibalisme : « Action de manger un être de son espèce ». Comme se ronger les ongles, grignoter ses cheveux et avaler ses cuticules, manger son placenta est donc, certes, peu ragoûtant, mais pas fatalement pathologique pour autant.

Pour le Dr Lévy, psychiatre, utiliser son placenta dans le cadre de coutumes ancestrales n’a rien de pathologique : « Ce qui pose question en revanche, ce sont ces femmes issues de cultures occidentales et qui veulent choisir ce qu’elles font de leur placenta. Il y a une volonté de contrôle absolu, le manger étant une façon de se re-remplir le ventre après l’expulsion du bébé : ce qu’il faut se demander, c’est pourquoi c’est insupportable pour ces femmes de quitter leur placenta ? Et ce qu’elles attendent en mangeant un placenta : une forme de toute-puissance maternelle, peut-être… ? » En tout cas, après la glace « BabyGaga » à base de lait maternel, la tendance « Mangez-moi, je suis maman » semble bien présente.

« Tous les mammifères le font »

Les femmes placentavores interrogées par la presse américaine et témoignant sur des forums spécialisés avancent toutes des arguments similaires : « Manger son placenta, c’est naturel, les autres mammifères le font ». Dans Le Dictionnaire du diable, Ambrose Bierce célèbre pour son amour de la provocation  définissait ainsi les mammifères : « Mammifères : famille d’animaux dont les femelles allaitent naturellement les petits ; mais dont la version instruite et civilisée utilise une nourrice ou un biberon. »

Une manièrevolontairement agressive et contestable de dire que non, nous ne sommes pas obligées de nous conformer aux pratiques de nos amis les bêtes. Sinon, à quand l’épouillage collectif en public ou le coït en guise de salutation : après tout, si des mammifères le font… ?

 

 

 

 

Vous le voulez comment, rôtî au four ou cuit à la vapeur ?

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